il faut distinguer l’acharnement thérapeutique de l’euthanasie.
dans tous les cas, quand on pénètre certains services de soins palliatifs on s’aperçoit que le maintien d’une vie artificielle contre la volonté du malade s’apparente au supplice.
dans le cas marsu, il est vrai qu’il est difficile de définir nous-même la souffrance d’un dépressif et comment reconnaitre le seuil extrême de cette souffrance. il a peut être mal évalué ou n’a pas su. bref son ami est mort et lui vit avec, c’est dur... hélas, comme souvent, le doute a penché vers le négatif alors que, comme le dit bill, le processus de la dépression n’est jamais irréversible.
merci rocla pour le sourire