Une analyse pseudo cabalistique de la forme « salut ».
1. sal : fait référence au sel (saltz) ; il est racine de salaire, sale, etc. Rien de bien propre.
2. ut : fait référence à l’octave, au doublement et/ou à la division par deux d’une fréquence ondulatoire. Il y a là un rapport direct avec l’odorat, le nez, les sinus (et donc co-sinus) et par conséquent à l’analyse des sels. Ça va ?
3. sal-lut est le sel lu ; c’est à dire l’analyse (encore une histoire de trou de balle) des faits post-ce-que-vous-voulez-du-moment-que-c’est-passé. Le malo du pater noster dans sa lat(r)ine version eschatologique.
4. hello : même sème que salut ; hell (enfer) de retour vers le haut, ou O : le soleil, l’or, le silence, etc.
5. j’en oublie, sans même aborder la typologie, un bouquin ne circoncirait pas le sujet car on peut descendre encore dans le détail du S, du A, du L, etc. séparément ou par sous-ensembles.
Le salut post-mortem est selon moi un pléonasme. lol. Salut est un terme éminemment (dis le minet du minaret) religieux : il demande un remise de peine.. heu, je veux dire une remise de dettes, comme dans la version première du patern os ter (canevas des trois bouches, de goût ou d’égout).
Pour aller plus loin, ou plus pré, c’est comme vous voulez. relol
Sens à la monnaie