Notre indécision reflète notre manque de liberté, pas la liberté qui est d’aller hors les murs mais la liberté de penser.
Voter c’est accepter les règles qui s’appliquent, en disant cela je ne donne pas une consigne, je ne fais qu’affirmer une évidence et donc ceux qui se présentent, et bien forcément ils les acceptent ces règles.
C’est un peu comme si je crie bien haut mon opposion à la violence et que je trucide un fabriquant d’armes ou que je milite pour la peine de mort, mais on vit très bien avec nos contradictions, tout au moins c’est ce que l’on croit, et la névrose est un palliatif.