J’exprime toute ma solidarité à Laurent Theron, victime du gouvernement Gattaz et de ses méthodes de parrain : « on frappe d’abord et on discute après ». Encore sonné par ce quinquennat révoltant, je me découvre un sentiment de fraternité avec les américains du sud qui en matière de coups d’État, de milices et de répression, ont hélas une certaine expérience. Nous aussi, désormais, voyons dans notre vieille Europe un gouvernement être détourné de son programme par un État profond qui se cache à peine, et la violence physique se déchaîner contre ceux qui avaient voté pour le président actuel et s’émeuvent que leur vote soit ainsi piétiné. La situation est inédite dans notre histoire récente : Hollande cogne ses propres électeurs !