@njama
On peut deviner dans
la décision du Conseil d’Etat, l’intention des interprètes d’une législation
établie dans un contexte (1905) où les tensions interreligieuses n’existaient pas en France,
de considérer les aspirations de français pas nécessairement croyants, qui
souhaitent manifester une expression de leur culture. L’évolution de notre
société devenue inhomogène religieusement notamment, peut contribuer à expliquer
l’intérêt renouveler pour ces crèches.
Ceux qui y
voient une forme de prosélytisme ne cherchent-ils pas un motif pour justifier un point de vue anticlérical ?
Ces crèches ne
sont-elles pas aussi des réponses à des déclarations tendancieuses et inutiles
de la part de Moscovici qui ne "croyait
pas aux origines chrétiennes de l’Europe« ou à VALLS »Sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France" ?