Les gitans mettent un point d’honneur à ne pas travailler. Chacun choisit son mode de vie bien sûr mais dans une société ceux qui ne fournissent pas l’effort pour y vivre sont assez mal vus. Et quand la contribution devient négative, car le fric pour vivre « libre » vient bien de quelque part, on comprend que l’amour d’autrui du gadjo (le goy ou le mécréant du gitan) en prenne un coup. C’est mal ?
Évidemment, dans une société bobogocho, il faut aussi s’excuser de se faire plumer au nom du respect des autres qui ne vous respectent pas.