Souvent, des fainéants de la pensée se jettent à corps perdu dans le travail abrutissant. Je ne parle pas ici de ceux qui n’ont que ce choix pour survivre mais de ces forçats volontaires, apôtres de l’activisme à tout prix et de la surenchère dans l’effort, moralisateurs qui brandissent une « valeur travail » qui n’a de raison d’être.
Le travail imposé n’est qu’un moyen, pas une fin en soi.