« Le CNAFAL dénonce un manque de vigilance et de respect du principe de précaution. Il pointe également un problème d’économies budgétaires car de nombreux postes d’agents de contrôle sont supprimés au détriment de la santé des consommateurs. »
S’il faut effectivement appliquer le « principe de précaution » dans la chaîne alimentaire, la plus large part de l’industrie agro-alimentaire française, €uropéenne et transnationale peut mettre la clef sous le paillasson. Hors vertueuses indignations, aucun risque donc que le giton de Rothschild pousse le bouchon plus loin que ses prédécesseurs : ne comptez pas sur le président des banquiers pour chagriner à ce point ses généreux mentors.
Quant à la réduction systématique des agents et des moyens de contrôles, elle est, à voir ce qu’on nous vend pour « alimentation » et dans l’attente du futur vaccin obligatoire contre la malbouffe, la seule voie logique pour éviter les « scandales ».
Bon appétit !