Il ne faut pas confondre suicide et mourir dans la dignité.
Autant je trouve que lorsque les souffrances physiques justifient un traitement palliatif, une aide à mourir dans la dignités serait un progrès notable, autant je suis opposé à une même démarche concernant des souffrances psychiques.
En effet, les souffrances psychiques pour insupportables qu’elles soient parfois, peuvent être soulagées pour peu que la société s’en donne les moyens : les soins psychologiques ne sont pas des traitements palliatifs. Aider à mourir une personne en souffrances psychiques, de mon point de vue c’est un défaut d’assistance à personne en danger.