Pour ma part je ne suis pas contre une réduction es limites de vitesses, cela ne me dérange nullement.
D’abord, soyons honnête, le première opposition à ce projet est surtout basé sur la défense du droit à « appuyer sur le champignon ». Toute argumentation, fut elle construite ou non, n’ayant comme objectif de conserver (et si on peut, inverser la tendance) une bonne vitesse de conduite.
Ceci dit, je suis contre encore une loi, une directive [...] sur la limitation de vitesse.
En tout cas, pas tout de suite
Pour une raison : l’accidentologie occasionnée par d’autres raisons que la vitesse.
Ce n’est pas temps l’argument valable des lois mécaniques sur l’aggravation des blessures en fonction de l’augmentation de la vitesse, que le fait qu’on ne parle quasiment que de cette cause (avec parfois l’alcool et les stupéfiants de temps en temps), ce qui occulte tout le reste.
Pour ma part, je pense qu’on arrive à un blocage du compteur de décès en axant tout sur la vitesse ou tout du moins légèrement asymptotique (courbe qui descend très légèrement d’année en année pour tendre à devenir une droite quasiment horizontale).
Des comportements sur les distances de sécurité, sur le repos au volant, sur l’absence de clignotant [...] sont tout simplement ignorés par les autorités publiques.
Oui, mais le contrôle de la vitesse a un avantage mirobolant par rapport aux autres facteurs d’accidents : il peut être automatisé sans être obligé de recruter du personnel et accessoirement il rempli les caisses de l’état :)