L’ultra-moderne solitude est, dans une large mesure, le résultat de l’ultra-moderne privatisation du bien public, du bien de tous, et du développement technique conçu comme devant être nécessairement indépendant du bien commun, de la morale, de la culture, de l’éducation...
Et cette ultra-moderne dégradation humaine est voulue par les riches — et acceptée par les autres — comme devant être mondialisée.
Et l’Union européenne, telle qu’elle a été conçue et telle qu’elle se développe trouve ça très bien !