Haha, hordes de Bayroutistes à la solde de votre mentor, vous vous êtes auto-régalés à la destruction de cet article.
Je ne surprendrai personne si je vous disais que je l’ai bien aimé, moi, cet article. Quelques tirades, disons un peu trop épicées pour vos oreilles délicates, tirades que vous n’aviez d’ailleurs même pas attendu de lire avant de voter épileptiquement contre l’article.
Si les pro-Bayrolliens n’ont pas été avares en manifestation, les gargouilles de Le Pen en ont bien profités pour placer leur sempiternelles diatribes anti-Royal. Soit, enfin rien d’étonnant, sans compter le schtroumph qui se parle tout seul. Voilà, après avoir lu vos propos plus que haineux envers l’auteur, je vous en mets une petite.
Maitnenant, Bayrou au risque de vous surprendre, je ne suis pas pour.
Un programme trop proche de celui de Sarko, une politique plus que douteuse lorsqu’il fut au gouvernement ( remise en cause du financement des écoles de curetons - oui, je dis cureton - par les collectivités locale ), un staff de campagne d’aristocrates... Oui, je n’aime pas les riches et les curetons et juger un homme ainsi ne relève pas de l’argumentation. Mais c’est un sentiment non négligeable qui devrait vous faire rapppeller qu’il existe encore des gens dits « de gauche » en France. Des gens qui ont des convictions, des valeurs de droits sociaux et de liberté que la société, que vous-même tenez à nous enlevez.
Non, pour moi Bayrou n’est pas clair, même si le personnage s’avère « sympa », il se réclame du non partisianisme mais n’a jamais montré de garanties sérieuse en ce sens. Il pactisera, et trahira les électeurs « de gauche » dégouttés par Royal. Ces même électeurs croient en Bayrou un salut, un renouveau ou je ne sais quelle nouveauté, mais il s’agit bien d’un gadget, d’une nouvelle façon de faire de la politique : celle du déni de conviction. Bayrou est de droite, et faire croire le contraire est un canular ( lisez le supplément du Canard : Elysée-moi !!! ).
Je dois tout de mêm admettre que les potentiellements présidentiables ( on dira 3 ), tirent par monts et par vaux les électeurs et se foutent bien de notre gueule, quelque part. Et tous autant que les autres, on ne me fera pas croire que les revirements de Bayrou ne sont en rien comparable avec ceux de Royal.
Le vote de gauche existe en France, il vous fait marrer car il apparaît éclaté... Mais, j’ai bien peur pour vous que Royal passera, et je m’engage à faire le tour de tout mes potos socialos ce soir là (et oui, j’en ai pas mal, d’ailleurs plus que tout les commentateurs réunis ici... ), j’aurais une pensée pour vous. Ne vous inquiétez pas.