J’ai de nombreuses fois contesté les impôts
directs avec l’article 13 des droits de l’homme de 1789 et les taxes foncière
et d’habitation avec ce même article 13 et complété par la contestation de la
légalité de cet impôt puisque le taux de cette imposition n’a pas été voté par
le Parlement comme la Constitution l’exige.
ART. 13. — Pour l’entretien de la
force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune
est indispensable ; elle doit être également répartie entre tous les citoyens,
en raison de leurs facultés.
"La loi est votée par le
Parlement. La loi fixe les règles concernant... l’assiette, le taux
et les modalités de recouvrement des impositions de toute nature."
(Art. 34 de la Constitution de 1958)
Le tribunal administratif a toujours
refusé de recevoir mes arguments alors que :
« L’autorité judiciaire doit demeurer
indépendante pour être à même d’assurer le respect des libertés essentielles
telles qu’elles sont définies par le préambule de la Constitution de 1946 et
par la Déclaration des droits de l’homme à laquelle il se réfère. » (loi
constitutionnelle du 3 juin 1958 - 4°)
« Afin que cette déclaration constamment
présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs
droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du
pouvoir exécutif…afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur
des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la
Constitution et au bonheur de tous.... » (préamb Déclaration 1789)
J’ai émis bien d’autres contestations
toujours basées sur les droits de l’homme de 1789 et sur le préambule de la
constitution de 1946 mais jamais ni les tribunaux administratifs ni le Conseil
d’Etat n’ont voulu ma faire droit là-dessus mais ils se référaient toujours à
des lois qui violaient ces principes mais inférieures en droit puisque non
constitutionnelles.