Je pense que tu fais une erreur dès le départ en considérant que la licence globale équivaut à une culture gouvernée d’en haut, étatique. C’est au contraire l’assurance d’une culture dominée d’en bas, par ses propres « usagers ». La licence globale autoriserait chacun à être à la fois « consommateur » et « distributeur » de toutes les oeuvres. Donc pas de NetCulture.gouv.fr, mais au contraire toutes les oeuvres partout, sur tous les blogs, tous les réseaux P2P,... C’est bien cette perte de contrôle qui fait peur à l’industrie.