" ... considérez, par exemple, la débâcle de juin, une “ débâcle sans
précédent “ .. “ L’exode de 1940 en France est une fuite massive de
populations belges, néerlandaises, luxembourgeoises et françaises en
mai-juin 1940” ."
Mauvais exemple dans la mesure où les premiers fuyards — belges à tout le moins — étaient tout autant ruraux qu’urbains, anticipant les innombrables pillages, exactions et massacres perpétrés en toute impunité par la piétaille teutonne en 1914.
Dans la petite ville des Ardennes où vivait ma grand-mère, seuls les habitants qui - quitte à retrouver leurs maisons pillées et saccagées — avaient en 1914 eu le réflexe de se cacher dans les forêts le temps de laisser passer la ligne de front ont eu la vie sauve.