AU SECOURS :
Demain on va interdire les vaccins — bon OK, ils ont mauvaise presse, comme les terroristes —
Au nom de l’apartheid, espèce de concept détourné de l’idée originale d’égalité, toutes ces institutions baffouent l’aurorité l’oeuvre de progrés des groupes humains.
Il est donc maintenant interdit de choisir son avenir, son mode d’organisation et son espace de vie.
Cela fait quasiment une centaine d’années qu’on ne comprend pas pourquoi, dans tous les espaces de civilisation occidentaux, il y a tant de mansuetude pour des sociétés humaines exogènes (etrangères) autant prédatrices..
Pourquoi ces sociétés beneficient-elles partout d’une bonté d’une générosité et de privilèges qui vont au dela du juste respect des identités... justement, ce respect qui est denié a tous ceux qui vivent ou survivent sur leur propre territoire.
Le mot « racisme » a aussi dévié de a semantique initiale. De doctes savants ont choisi d’expliquer qu’il n’y avait pas de race et on peut les croire... mais la nature humaine n’est pas la même partout parce qu’elle est construite sur une histoire.
Alors, le mot racisme se refère maintenant justement sur ce mode de vie. Il est devenu donc raciste de ne pas aimer une religion ou une culture qui n’est pas la sienne.
On touche bien la limite de la communication, a force d’utiliser des langues imprécises on pense avec cette même imprécision.
Notre pays renonce a toutes les qualités de la precision de sa langue à la justice immanente de l’égalité des hommes.
Comme pour le virus, on a été capable de congeler les lois les plus fondamentales de notre peuple. Peut être serait-il temps de congeler quelques unes de nos lois les plus bienveillantes, favorables a ceux qui veulent nous detruire, volontairement ou non.
Alors, pour etre en accord avec l’auteur, suicidons nous, puisque l’alterité est plus forte que nous-même.
Demain il faudra peut etre interdire les droits de l’homme — bon OK, cela fera tâche, mais nous seront là pour justifier notre action — Nous auront démontré la juste légitimité humaine de vivre tout simplement...
Note : P... que cela fait mal d’écrire cela, je n’aurai jamais cru y etre obligé un jour....