« la France, aussi loin que l’on remonte dans le temps, est ouverte et n’a cessé d’accueillir des migrations de populations. »
C’est faux.
Jusqu’au début des années 1970, la France est composée à plus de 98% de gens de race blanche et de culture européenne.
Saint-Denis (film vidéo du centre-ville, plus de 90 000 habitants) n’est qu’un exemple parmi les innombrables communes de la banlieue parisienne où la population française de souche a été totalement remplacée par une population d’origine extra-européenne (berbères, arabes, africains sub-sahariens, asiatiques, indiens, etc...) en moins de 30 ans. Dans les rues de la ville, on n’entend presque plus personne parler français.
Ceci impliquant un bouleversement du paysage culturel, cultuel et ethnique.
Les prénoms donnés ne sont plus Christophe, Matthieu, Sylvaine et Estelle, mais Rachid, Mohamed, Youssouf, Fatoumata et Kakambwa.
Les nouveaux arrivants n’ont plus comme héritage Aristote, le Christ, Jeanne D’Arc, Descartes, Pascal ou Chateaubriand, mais le Coran, le Ramadan, le Zouk, le Wolof et l’arabe. (une trentaine de boucheries islamiques pour 90 000 habitants, pas une seule boucherie traditionnelle !!!), 7 ou 8 écoles coraniques enseignant l’Islam radical aux jeunes musulmans, et la grande mosquée financée par l’Arabie Saoudite flanquée de son minaret (islam radical wahhabite), inaugurée par le bon maire communiste.
Paris dans les années 1920.
Histoire de la cité des 4000 à la Courneuve, ravagée par l’immigration africaine.