L’auteur qui n’est pas « que con » comme on dit entre nous chez nous (à en juger d’après ses précédents articles intéressant) doit, pas possible autrement, avoir quelque chose à se faire pardonner, un marché ou une promotion à obtenir, un mandat ou un client à conserver.... que sais-je, pour devoir écrire de telle bêtises.
La vie bourgeoise exige de dure concession !