Ecoutez la femme grillagée de Pierre Perret... Mais à mon avis, c’est parce que nous sommes trop libérés sur le plan sociétal qu’il y a un contre-poids. Les femmes en noir, c’est la colonne de gauche de l’arbre séphirotique : la rigueur. Comme le livre de Guy de Maupassant : le Horla. C’est notre inconscient collectif homophile (Maupassant était homosexuel) qui se projette sur le Jihad. C’est nous qui avons attiré cette haine du féminin.