Le premier meurtre peut aussi se lire comme la premiere conscience de notre mortalité. Et comme je l’ai écrit par ailleurs. A la différence de l’animal, c’est la CONSCIENCE de notre mortalité qui est à l’origine de la création, de l’écriture. Car eux, on l’espère, seront IMMORTELS. UN excellent article dans la Libre. https://www.lalibre.be/culture/livres-bd/2022/08/15/quand-on-tombe-amoureux-ou-quon-lit-un-bon-livre-on-oublie-quon-va-mourir-66GQLY5L2BHCPGV5LSDBBJPT44/. C’est l’histoire d’Ahmet Altan, un écrivain emprisonné en Turquie. La conscience de sa mort le pousse à écrire et faite oeuvre. Raison pour laquelle nos jeunes ne lisent ni n’écrivent plus. Ils vivent dans le temps présent et sont dans le déni de la mort...