En somme, c’est la même logique qui était à l’œuvre dans le révoltant scandale Orpéa, avec ces économies de bout de chandelle pourtant réalisées sur des éléments clés d’un accueil humain des pensionnaires
C’est bien pire que cela
Il ne s’agit pas de gratter à la marge deux ou trois couches pour financer une ramette de papier ou un pot à crayon. Il s’agit d’un systeme mafieux visant à détourner avec le meilleur ratio l’argent public devolu à un besoin de la population pour en faire une machine à cash sur le dos du contribuable qui paye deux fois : la premiere via ses impots, la seconde en manque à gagner sur les prestations dont il est censé bénéficier
C’est à rapprocher de l’organisation du ramassage d’ordures en italie, par exemple, qui fonctionne de la meme maniere. On paye pour un service, et ils vont balancer les ordures dans une foret quelconque, et fuck