Evidemment toujours la même antienne : le réchauffement « global ».
Extrait du lien « réponses aux climatosceptiques » ... « Même si la température moyenne globale augmente moins vite depuis 10 ans, la décennie 2000-2009 a été la plus chaude jamais enregistrée depuis 1850 ! Le 5è rapport du GIEC rappelle aussi que depuis 1980, chaque décennie a été significativement plus chaude que n’importe quelle décennie passée depuis 1850. De plus, l’explication du réchauffement climatique repose sur plusieurs facteurs. S’il est naturel de commencer par la température de l’air, un examen plus approfondi devrait aussi inclure la couverture neigeuse, la fonte des glaces, les températures au sol, au-dessus des mers et même celle de la mer elle-même. Aujourd’hui, chacun de ces indicateurs atteste d’un réchauffement global des températures. »...
Et c’est bien ce que souligne Marcel Leroux, cet immense climatologue dont « on » refuse de faire paraitre les travaux dans le grand public, lesquels sont incontestables et n’ont jamais été invalidés. Les événements auxquels nous assistons lui donne chaque jour raison !
Marcel Leroux :
... « Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages. En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ?(Marcel Leroux, 2004). »...
Et pendant ce temps, l’esprit occupé à observer « la moyenne globale », on ne se soucie absolument pas de la destruction des écosystèmes par l’Homme et de la production démentielle de matières polluantes. Et maintenant, puisque la « technologie l’exige », la production de « nanoparticules » va bon train.
7 millions de décès dus à la pollution chaque année et cela passe inaperçu dans le « grand public » !
... « L’OMS estime à 7 millions environ le nombre de personnes qui meurent chaque année à cause de l’exposition aux particules fines contenues dans l’air pollué. Ces particules pénètrent profondément dans les poumons et dans le système cardiovasculaire, ce qui cause des affections comme les accidents vasculaires cérébraux, les cardiopathies, les cancers du poumon, les bronchopneumopathies chroniques obstructives et les infections respiratoires, notamment la pneumonie ».
https://www.who.int/fr/news/item/02-05-2018-9-out-of-10-people-worldwide-breathe-polluted-air-but-more-countries-are-taking-action
Faisons donc semblant de l’ignorer et continuons à nous soucier de la « moyenne globale »sur la planète. Cela nous occupe et nous permet d’utiliser des termes comme « climatosceptiques » ou « vaccinosceptiques ». Parce qu’il n’existe pas de « vaccin » contre les matières particulaires polluantes.