Toutes les anomalies possibles et imaginables sont dans le dossier de la gestion d’une épidémie qu’on savait dès le printemps 2020, avoir la létalité d’une forte grippe (en population générale).
Par contre on ignorait à l’introduction de la campagne d’injection a peu près tout sur les bénéfices à attendre de ces produits expérimentaux et encore bien plus les effets négatifs à en attendre sur un terme plus long que le trimestre, comme leur fréquence.
Ce sont donc bien les gouvernements ( Ursula Von der Machin pour l’U.E.) qui ont assuré la publicité gratuite et la vente de ces produits en confondant un voeu ardent (que cela leur sauve la mise, vu l’état de délabrement des services de santé) et la réalité scientifique.
Ils en sont conscient en esquivant en ce moment l’examen de la vague de mortalité toutes tranches d’âges en 2021 et 2022. Il a été ouvertement dit au Parlement Britannique qu’il n’y avait pas d’intérêt à diligenter une étude gouvernementale sur la question .
Les chiffres sont pourtant substantiels. J’écoutais ce matin le Dr J. Campbell rapporter que le ministère de la santé écossais qui venait de constater deux pics de mortalité (doublement du taux de décès) des nouveaux-nés, se refusait par principe à examiner le statut vaccinal des mamans ayant perdu leur bébé de peur de donner du grain à moudre aux mauvaises pensées.
On peut supposer qu’ils chercheraient le coupable pour pouvoir se laver de tout soupçon, s’ils estimaient leur responsabilité hautement improbable.