La racaille a été embarqué dans les fourgons, et le Bresil à la gueule de bois, mais la légitimé de Lula en est renforcé.
Un peu comme après une fête arrosée, et qu’on contemple au matin, les dégats consternants occasionnés par les noceurs.
Il n’y a pas que l’Amérique du sud à être sidéré. Les Etats unis eux aussi contemplent écoeurés le jour d’hier, celui de l’invasion du capitole.
Mais les échos des l’obcéninité Brésilienne sont accablants pour les américains, revisitant leur propre passé enkysté, et il est fort probable que cela va porter préjudice à Donald Trump, dans ce retour de mémoire.