Merci à l’auteur pour cet article, bien que le titre soit un peu déconcertant. En tout cas l’exemple mis en exergue montre bien la tendance générale à l’anglicisation abusive.
On a un sous-ministre de la francophonie, mais non en terme de défense linguistique mais de relations avec les pays francophones. Or la défense de la langue française devrait être la mission principale du ministère de la culture, et notamment réactiver et renforcer la directive Toubon. Il faudrait le faire en coopération avec le Quebec, bien plus engagé que nous dans cette voie, pendant que notre académie sommeille ou s’occupe de féminiser le terme ’’covid’’ !