Chalot dit que l’on confond SDF et immigrés.
Il y a les photos et les reportages d’abord. Mal-logés, sans-abris, squatteurs, Restos du coeur, Abbé Pierre, etc., pas beaucoup de blancos chez les pauvres comme aurait dit Valls.
Il y a les mots ensuite : dans les media et ailleurs, on est passés de ’’sans-papiers’’ à ’’sans-abri’’, gommant ainsi volontairement la différence entre citoyen français et immigré clandestin.
Et puis il y a les associations, qui, avec les dons des contribuables, se tournent de plus en plus vers l’aide à tous les miséreux du monde alors qu’auparavant elles s’occupaient exclusivement des nécessiteux français (Emmaüs accueille près de 48% d’étrangers illégaux et milite pour leur régularisation sans conditions).
Il ne faut donc pas s’étonner de l’amalgame fait entre SDF et immigrés, et il ne faut pas s’étonner de l’incompréhension, de la colère et du rejet que cette politique suscite, car elle va clairement à l’encontre de la volonté d’une large majorité de Français, et à l’encontre de nos intérêts économiques et culturels.