Diatribe gaucho-humaniste sans plus. 

L’évocation de chiffres n’explique en aucun cas les conséquences de la situation pour la France (ses ressources financières) et pour les Français superbement ignorés par l’auteur sinon de citer l’extrême droite ce qui veut tout dire. 

Le pays est effondré en terme de services publics. La Santé devient à deux vitesses , l’éducation nationale tout autant. 

La peur s’installe via l’insécurité ; Le port d’un couteau devient une normalité et ce rombier nous raconte que tout va bien avec l’envahissement de peuplades en majorité jeune et masculine venant d’une culture sociale plutôt violente . 

Avec 11 ans de Hollando-Macronisme bouffi de Europeanisme on a atteint le fond. Le comble de l’hypocrisie est atteint avec l’évocation des OQTF que tout le monde sait comme très peu exécutés. 

En fait une entrée illégale en France est inexpugnable car tout un ensemble de procédures nationales et internationales nous bloquent. Dans le cas contraire les associations d’aide aux migrants s’en chargent pour faire dérailler l’affaire (le migrant c’est leur gagne pain). 

Quelques soient les arguties juridiques autour du CC et du droit Européen c’est de la roupie de sansonnet. 

Le CC n’est pas le problème. Le problème est qu’il est colonisé par des sbires comme Fabius et Juppé, des redevables à Hollande et Macron. Avec cela le résultat est effectivement connu. 

Quand à Bruxelles et tout son bazar, la Hongrie 10 Millions d’Ha et la Pologne 30 Millions ont déjà prouvé que il était possible de s’opposer au dictat de l’UE). 

Un pays fondateur comme la France peut encore plus aisément imposer ses particularités mais encore faut il le vouloir. 
Macron , le fils de l’autre , ne pense qu’a son avenir de rêve comme Président exécutif d’une UE fédérale. A ce titre il ne fera rien qui le fâcherais avec Bruxelles et ses séides. 

Tout cela au détriment de ses propres concitoyens dont il se moque comme de sa première chemise. 

L’auteur peut philosopher tant qu’il veut mais c’est cela qu’il y a derrière le masque : une grimace et rien d’humaniste.