L’erreur est peut-être de comparer des choses qui ne sont pas comparables.
Les massacres gratuits et soigneusement passés sous silence durant des décennies des Indiens dans le sud de l’Amérique latine au début du 20e siècle, n’ont pas grand-chose à voir avec l’immigration actuelle en Europe.
Les réactions aux uns et à l’autre ne peuvent pas être identiques. Les assimiler en une même pensée pour dénoncer un soi-disant « deux poids deux mesures » n’a guère de sens, sauf à raisonner par syllogisme grossier.