L’école n’est pas un sanctuaire, elle
s’inscrit dans une société malade et en subit les effets : lien.
Masquer le symptômes n’a jamais
éradiqué l’origine du mal. C’est un cautère sur une jambe de bois.
Une condition nécessaire est de
démanteler les réseaux de drogues, ce qui suppose déjà d’admettre
la corruption aux plus hauts niveaux.
Mais c’est loin d’être suffisant. Les
enfants scolarisés sont ni plus ni moins déboussolés que les
adultes. Ils sont seulement plus vulnérables, et victimes plutôt
qu’autre chose.
Les enseignats doivent comprendre qu’il
n’est pas suffisant de s’en prndre à leur hiérarchie et
contre-productif de s’en prendre aux élèves. Ils sont aussi des
citoyens responsables comme nous tous de l’état de cette société
en votant de travers.