Il est passé à côté du prix Nobel, il en a eu l’occasion en tant que garant avec l’Allemagne, celle de faire pression sur Kiev pour qu’ils appliquent les accords de Minsk II, à supposer qu’il en ait eu la volonté, mais manifestement il suivait l’obsession américaine de réarmer l’Ukraine et de créer le conflit (les bombardements du Donbass se sont intensifiés juste avant l’invasion russe), et d’affaiblir la Russie.
En fait, depuis l’écoute des généraux allemands, il est de plus en plus admis que nous avons participé avec d’autres au conflit, par le renseignement électronique et des servants du matériel moderne.
Encore une faillite de nos médias, qui auraient pu enquêter sur le temps nécessaire à former des militaires pour les canons Caesars et les missiles, savoir s’il était plausible que les Ukrainiens les utilisent seuls...
Finalement, Poutine est bien gentil de ne pas nous considérer co-belligérants, tant qu’il n’y a pas de troupes en uniforme sur le terrain. Certains pensent que la révélation des écoutes et les missiles des Yéménites sont une sorte d’ultime avertissement à Macron, aux Anglais et aux Allemands, Polonais, Baltes.