@titi
pour le Japon dans le & 2 j’indique que la balance commerciale étant systématiquement excédentaire (sauf suite à Fukushima et à l’envolée (russo-ukrainienne) des prix du gaz et ,du pétrole et aussi du charbon), les Japonais consommant moins qu’ils ne produisaient, épargnaient massivement : et que l’Etat japonais se servait des dépôts de l’épargne à la Poste (rémunérée à taux zéro pendant des décennies puis ensuite à 0.5%) pour combler son déficit budgétaire ! Indirectement la dette japonaise détenue par la Poste est indirectement détenue par les possesseur des comptes de dépôts à savoir les épargnants. En France aussi, les épargnants français peu gourmands des actions détiennent une partie importante de la dette publique par l’intermédiaire de comptes d’épargne et de compte courant.
Pour les cadres et professions libérales, une grande partie de leurs cotisations de retraite et de complémentaires santé n’est pas prise en compte dans les comptes publics nationaux présentés. Seule la partie obligatoire est prise en compte.
Pour le « principe de répartition » seuls les coûts de santé (ou de défauts de santé) entrent dans ce dispositif. Les cotisations de retraites variables avec les revenus et les options choisies, donnent lieu à des pensions individualisées et tiennent compte des versements : C’est un mélange de pure répartition et de capitalisation indirecte.