Le gouvernement allemand ne pratique pas le ’’quoi qu’il en coute’’. Chez nous, l’idée même d’une réduction de l’aide à l’Ukraine ferait qualifier celui qui l’évoque de pro-Poutine.
En tout cas le rapprochement avec le mandat d’arrêt concernant le sabotage du gazoduc n’est pas fortuit, la prochaine étape devrait logiquement être un véto d’entrée dans l’UE/OTAN.