Sandrine Rousseau est toujours maquillée, souvent du vernis qui écologiquement doit être une belle saloperie à produire. Bref, elle n’aime pas que les femmes soient traitées comme de la chair à canon qu’on expose mais elle est la première à utiliser des cosmétiques pour paraitre plus belle, autre chose, et j’en passe.
Elle fait un métier d’apparence, et donc elle s’ajuste en utilisant des artifices, comme Dati ou Pecresse qui sont même passées à l’étape supérieure en allant voir un chirurgien.