Il est important (mais parfois difficile) de différencier l’erreur de bonne foi par rapport à la malversation. On n’envoie au tribunal que pour un délit ou un crime.
Exemple : un ministre annonce une croissance économique, mais survient alors une crise mondiale comme les subprimes, il n’y a pas malversation.
Mais un ministre fausse les comptes pour afficher une croissance qui n’existe pas ou cache des déficits aux élus et à la population : il y a volonté de duper.