Comme pour la représentation féminine, le plus important est dans le nombre des candidatures.
Si on prétend que les partis bloquent leurs « gens de couleur » (c’est possible), l’électeur ne peut rien changer au menu électoral.
S’il y a peu de candidats femmes ou peu de maghrébins ou de noirs, on ne va tout de même pas les élire de force pour respecter les statistiques !
La parité est déjà un non sens.
Vouloir déployer à ce niveau la discrimination positive, c’est carrément du délire.