@ l’auteur
Je partage en grande partie votre analyse.
La gauche a épuisé la majeur partie des idées réalisables sinon tout à fait réalistes, qui lui permettaient de se différencier un peu d’une droite qui s’est recentrée au fil du temps. Les apparences et l’habitude continuent à masquer ce phénomène. Le PS a les plus grandes difficultés à trouver un angle d’attaque innovant, sauf à se laisser dériver sur son extrême-gauche et à en devenir encore moins crédible.
Les nuances futures entre droite et gauche seront plus dans les différences de personnes et de présentation.
A moins que la droite, grisée par son succès ne comette l’erreur de se radicaliser un peu plus. Sarkozy et son ouverture semble avoir bien compris les enjeux.