Excellent exposé. Il y a bien
évidemment la production du pétrole. Mais il y a aussi sa libre circulation. Il
faut voir, pour bien comprendre les enjeux de l’or noir, ce blog
qui, à l’aide de cartes, illustre les cinq points dits « les
plus chauds » du monde, tels que définis par Foreign Policy.
Peut-on évaluer la capacité de
nuisance de l’Iran sur le Détroit de Hormuz - cette question a tellement été
traitée - et les conséquences que cela engagerait sur le prix du baril ? Et ces
nouvelles affiliations de l’Iran et du Venezuela, deux importants producteurs
de pétrole ? Et ce projet de loi, voulu par les États-Unis, adopté par le
cabinet des ministres du gouvernement irakien sur le partage des profits du
pétrole ?
Vous avez bien raison. L’énergie
renouvelable n’est pas au cœur du débat.
Pierre R.