Lorsque le mauvais temps s’en mêle, même en cas d’approche convenable, l’avion peut subir un effet de sol ou une inversion du vent qui le maintien en l’air ou sur une seule jambe.
Et catastrophe sur Airbus, si les deux amortisseurs du train principal ne sont pas enfoncés à fond, les reverses et les freins ne répondent pas.
Il ne reste qu’à remettre les gaz, mais entretemps, on a avalé de la piste et si on est au régime de ralenti, l’avion ne va pas pouvoir redécoller sur une piste courte. Exemples que l’on connaît le plus : Varsovie et à moitié Toronto et peut-être maintenant Sao Paulo.
Les automatismes de l’avion au lieu de sauver l’avion dans les cas extrêmes peuvent ainsi empêcher l’équipage de brutaliser un peu la machine pour l’obliger à faire ce que décident les pilotes.