Il me semble que la déresponsabilisation rampante - bien qu’associée d’ailleurs à un discours de responsabilisation - comme l’augmentation du nombre d’obligations, d’interdits, d’assurance obligatoire, de soumission à .. ne peut qu’aller dans le sens du sentiment de victimisation : plus on est (télé)guidé, moins on est responsable et plus on peut être « victime ».
Et comme le discours dominant est celui de la « responsabilité », on cherche toujours des boucs émissaires responsables de ... du temps qu’il fait par exemple !