Merci de saluer ce grand homme, Lilian, c’est grâce à lui qu"on a pu lire Kerouac ou Jack Fante. L’homme choisissait SEUL ce qu’il voulait faire paraître, ce qu’on oserait plus jamais faire aujourd’hui. Il a pris tous les risques... seul. Il était discret, et son départ l’est tout autant. Regrettons la platitude avec laquelle notre ministre de la culture l’a salué. Il méritait bien mieux que cet hommage poli mais sans aucune saveur. L’homme ne nous offert que du bon : on continuera longtemps à déguster ses grands crus Bourgois. So long, hate to see you go...