Un rajout : une telle réforme permettrait en fait de proposer à l’école bien plus d’une dizaines de langues à valider, car si localement on doit facilement arriver à une dizaine de langues disponibles par la complémentarité public-partenaires (privé commercial et non commercial), il est tout à fait envisageable, grâce aux technologies informatiques, qu’un élève choisisse de valider une langue "rare", comme le chinois (qu’il est abusif de qualifier de rare !), en suivant de l’enseignement électronique (e-learning...) auprès d’un prof qui serait basé dans l’Académie, ou dans un institut, à Paris ou même à l’étranger pour des langues réellement rares.
On voit qu’il s’agit d’une tout autre perspective, un usage très différent des TICE dont nos ministres ont clairement indiqué à diverses reprises que, pour eux, les technologies informatiques doivent servir à faire du "e-learning" avec des anglophones natifs...