Pour ce premier méssage,je voudrai réagir à cet affaire et surtout au fait que beaucoup ralient la version,fausse, selon laquelle le père de l’élève giflé se serait rendu au collège en uniforme pour intimider son monde.
Je rappelle quelques éléments :
-Le père s’est rendu au collège sur convocation du proviseur lors de la récréation qui as immédiatement suivi l’incident.
-il était en uniforme car il était en service au moment où le proviseur l’a appellé.
-Ce sont le proviseur et le professeur qui l’ont informé de ce qui s’était passé. C’est donc la version du professeur que le père a attendu en premier. Et c’est en entendant cette version (durant laquelle le professeur a reconnu être allé trop loin),que le père a décidé de porter plainte.
-Avant la fameuse injure ,le professeur a jeté les affaires de l’élève à terre et aprés que ce dernier lui ait demandé poliment pourquoi il avait fait celà le professeur l’a plaqué contre la porte c’est là que l’élève a laché le mot fatidique qui lui a valu une gifle. L’administration scolaire comme la justice affirment qu’il n’y avait pas eu de comportement insolent où de rebellion de la part de l’élève avant qu’il ne soit plaqué contre la porte.
Donc pour le fameux "devoir de correction" qui as été invoqué par nombre de défenseurs du professeur, s’il n’a pas été retenu c’est tout simplement que les conditions nécéssaires pour qu’il soit retenu ne sont pas réunis dans le cas d’éspèce.