Pour comprendre ou faire des maths, il faut un minimum de bonnes bases en calcul ; choses que nos contemporains manquent. L’exemple est frappant.
Par contre, le coté littéraire ressort chez le français dés qu’il faut analyser, décortiquer ou critiquer tel ou tels sujets.
Un problème m’est posé : Faut-il laisser autant de pouvoirs à des personnes qui doivent gérer notre avenir quand ils sont aussi nuls en simple calcul. Franchement, je me pose la question.