Je suis très attaché à la signification que l’on accorde aux mots et avant de parler de la "guerre des genres", je précise juste qu’il y a femmes et femmes.
Pour moi ce qui fait une femme, c’est bien plus que le fait d’avoir un vagin et on pourrait en dire autant des hommes.
Rivaliser avec les hommes (surtout avec leur homme) est un comportement typiquement masculin et de celles qui s’y adonnent, je ne dirais pas que ce sont des femmes, à peine des clones dépourvus d’attributs.
Attention, je ne conteste rien, c’est dans l’air du temps et le droit des individus va dans ce sens, c’est tout à fait normal.
je trouve injuste, comme le dit si bien l’auteur de l’article, que certaines "femmes" profitent de la situation.
Je ne suis pas pour la parité, je suis pour l’égalité de traitement devant la loi, pour le reste, galanterie et tout le toutim, c’est l’affaire de chacun.
J’estime que la parité n’a de raison d’être que dans la mesure ou elle ne se substitue pas aux compétences. Nous vivons dans une société de compétitivité et "sommes tous soumis aux mêmes règles du jeu", il n’y a pas de raison pour que certaines aient des passes-droit.
Dans mon pays d’origine, les femmes sont soumises au code de la honte (code de la famille) et sont considérées comme mineures à vie. Elles ne peuvent légalement se déplacer que si elles sont accompagnées d’un mari, d’un frère ou d’un fils. La justice y privilégie les hommes dans la majorité des cas. Dans l’inconscient populaire, elle sont encore considérées comme du butin de guerre ou de la marchandise (cf les coutumes lors des mariages).
A l’autre extrême, en France, les femmes sont intouchables et privilégiées en justice pour les affaires familiales, elles se conduisent de plus en plus comme des requins en jupon au niveau professionnel et prêchent dans le même temps pour une parité qu’elle ne sont pas prêtes à accorder à leur alter-égo masculin.
N’y-a-t-il pas un juste milieu entre ces deux extrêmes ?