D’une cause noble, la protection de la planete, les banques ont fait un bussines des quotas de pollution que les entreprises américaines negocient entre elles. Ca fait circuler les capitaux, et les banques se gavent dessus. Pour proteger leur petit commerce, ils vont jusqu’a truquer ou enlaidir les données scientifiques. Par exemple, le graphe en forme de canne de hockey, qu’Al Gore nous présente sur un élévateur, tellement il monte, souffre d’un oubli important - une période très chaude au moyen-age. D’ici quelque temps, quand les banques gagneront suffisament d’argent, on sortira les arguments contraires et on accusera les ecologistes d’utiliser les arguments fallacieux. On ne gagne jamais quand les banques se melent.