Je suis bien content de voir que je suis pas le dernier des crétins à mettre sérieusement en doute cette pseudo théorie pseudo scientifique qu’est le réchauffement climatique (du aux gaz à effet de serre).
Pour répondre à l’article, selon moi cette esbrouffe panurgesque a un but : celui de faire payer au "gogo" de contribuable le coût du changement de source d’énergie planétaire.
Dans une trentaine d’année (mais peut être dans mille ans ou dans dix ans personne ne sait vraiment) la goutte de pétrole coutera plus cher que le même volume en diamant. Ce pétrole qu’on retrouve dans chaque station d’essence même dans les coins (trous) les plus perdus de la planète. Changer ce mode de production, ce modèle économique et ce mode de distribution va couter une "FORTUNE" que ni les Cies pétrolières ni les Cies automobiles ne veulent payer. Alors faire peur au gogo est une belle astuce pour lui faire cracher au bassinet dans un geste de "citoyen responsable écologique".
Il existe d’autres réponses qui circulent cà et là, dont certaines se retrouvent dans les post(s) ici. Parmi elles, celle d’une influence des organisations bidono-écologistes qui voient là un moyen de faire du blé et de prendre du pouvoir sur les média et les politiques.
Enfin, il est amusant de lire le bouquin écrit par Michael Crichton, ETAT d’URGENCE, qui critique le Global Warming avec une parfaite mauvaise foi mais avec d’excellents arguments dont j’ai retenu ceux ci :
La courbe des températures ne montre un réchauffement climatique qu’à une certaine échelle (de 1880 à 2003). Il s’agit donc (peut être) d’un artefact d’échelle.
Aucune explication n’est fournie concernant la baisse des températures climatiques dans les années 40 et qui apparait sur la courbe
Les historiques de températures sont issus de relevés de stations météo publiques ou privées. Or ces stations (en dehors de leur fiabilité et de leur précision notemment il y a deux siècles) sont situées principalement en zone urbaine. Il s’agit donc de relevés concernant les zones de concentration humaines (où la température est plus élevée du fait de l’activité) et non pas de la surface globale du globe terrestre.
Le livre met le doigt où ca fait mal : la correction appliquée aux mesures, qui tient donc compte que ces mesures ont été faites en zone urbaine plus chaude que les autres zones, est faite au pifomètre. Selon la correction, on peut aboutir à un réchaffement ou à un abaissement des températures sur la même période.
J’ajouterai, à titre personnel, qu’une théorie scientifique "valable" n’est considérée positivement que par 33% des savants, que 33% préfèrent ne pas prendre position, et que le dernier tiers y est totalement opposé. Le Global Warming étant "prouvé" et reconnu par tous, tout le monde le sait, montre donc que cette théorie est fausse statistiquement. Il manque les 33% de savants qui sont "contre". A moins qu’"on" ne les fasse taire volontairement.