Dans le début des années 80, on entendait Yves Montand pérorer sur tous les plateaux et vilipender le monde communiste en nous disant : écoutez-moi, croyez-moi, moi je sais ce que c’est, j’y ai cru !
J’ai appelé cela : le syndrome Yves Montand, de celui qui s’est trompé, toujours trompé, et qui pourtant vient nous donner des leçons sur ce que l’on doit croire.
Pour moi, quand on s’est fourvoyé, on doit la jouer profil bas, et écouter les autres, réfléchir… et surtout pas jouer les Casssandre et les analystes des "fautes" des autres.
Salutations némanmoins cordiales