Je refuse pour ma part le terme de "racine" qui signifie que nous devons être ou nous sentir enraciner, immobile et prisonnier d’un passé unique : on ne change pas de (ses) racine(s) ; comme disait Aristote cette métaphore de la plante renvoie à une âme ou identité essentielle collective ou individuelle "végétative" permanente, c’est à dire incapable de se mouvoir", sauf à en être arrachées et mourir.
Je préfère le mot dynamique de "source" qui peut ou être réorientée, recanalisée, voire se perdre volontairement ou non.
Qu’en pensez-vous ?
Relire mon article sur AV : Refusons tout enracinement religieux