Bravo !
Et il y a d’ailleurs si peu de crise que Fortis a fêté ça avec un déjeuner à 150 000 Euros (cent cinquante mille, que je ne fasse pas d’erreur) pas plus tard que quelques jours après son rachat au Louis Xv (quinze, quinze et demi) pour faire passer toute l’émotion qu’ils ont eue avec cette fausse nouvelle.
Vive la crise ?
C’est dans le FIGARO journal de gauche moderne.