"Je prends en considération la capacité à resentir des emotions, de se projeter dans le futur et tout simplement de soufffrir. "
Moi, jveux bien, mais pour l’instant on ne peut pas parler d’émotions ni de capacité à se projeter dans le futur pour les animaux d’élevage : c’est tout simplement de l’anthropomorphisme.
Reste la douleurs.
Est-ce que ça voudrait dire que tuer un porc en pleine santé, c’est plus grave que de tuer un trétraplégique, un comateux ou autre ?
Il y a forcément autre chose que tes pseudo-critères.
Pourquoi ne peut-on débrancher un comateux que lorsqu’on est sûr qu’il ne se réveillera pas, et non lorsqu’on est sûr qu’il ne ressent plus rien ?
Parceque le vrai critère auquel on fait appel, ce n’est pas la douleur, ou l’émotion ; c’est la valeur sociale de l’individu.
Ce n’est pas parcequ’il a des émotions etc... qu’on ne peut pas tuer son voisin : c’est parcequ’il n’est pas REMPLACABLE.